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Plus de détails sur notre parcours : cliquez sur le profil de l'étape.
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Ce matin, notre train est à 9h. Nous nous préparons, reprenons le grand parc jusqu'au centre-ville afin d'y acheter notre petit déjeuner en face de la gare. Puis direction les trains.
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Avant de prendre le train : ranger nos affaires et se remplir l'estomac
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Notre 1er train du jour est de type « Corail français » mais avec plancher surbaissé. Une voiture est complètement dédiée aux vélos et il y a même un employé réservé au positionnement et à la surveillance des vélos. Bien sûr, cette voiture est pleine.
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Le trajet dure bien 4 bonnes heures jusqu'à Salzbourg, en Autriche.
En descendant du train, le pied de la béquille arrière de Matthieu se détache. Est-elle cassée ou simplement déboîtée ? Matthieu la remet provisoirement durant l'heure de correspondance dont nous disposons, mais ce n'est pas ça pour l'équilibre du vélo. Il faudra régler ce problème à Vienne.
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Le second train de la journée, Salzburg-Wien, est plus compliqué pour les vélos. Dans la voiture indiquée sur les vélos, nous cherchons les emplacements marqués sur les billets mais il n'y a que deux crochets vélos aux deux extrémités de la voiture. Il faut défaire complètement les sacoches et emprunter des marches pour y accéder, c'est assez difficile. Un peu plus tard, nous nous rendons compte que les numéros figurant sur nos billets correspondent en fait aux deux fameux crochets…
A 16 h, nous arrivons à Vienne avec 10 minutes de retard sur l'heure d'arrivée prévue. Nous sommes tout de suite happés par la chaleur : il fait très lourd.
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Nous nous dirigeons au centre-ville, faisons un tour des principaux monuments que nous connaissons depuis le voyage de l'année dernière.
Une japonaise, avec sa petite fille derrière qui regarde, nous prend en photo devant le Parlement autrichien. On voit qu'ils aiment prendre des photos, les japonais. Elle essaie de nous parler en français, elle a appris les bases lors de ses études en Angleterre nous dit-elle !
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Séquence souvenirs de l'an dernier à Vienne : Hofburg, parlement autrichien et graben
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Puis nous partons à la recherche d'un réparateur vélos pour l'histoire de la béquille.
On s'adresse à un « Mozart » sensé guider les tourismes qui nous oriente vers l'office de tourisme, lequel nous donne une adresse située au nord de la ville près d'un parc d'attractions.
Nous y allons (sur des routes bordées de pistes cyclables) pais arrivons trop tard. Il est 18h55, et bien que le magasin doive normalement fermer à 19h00, le patron est déjà parti chez lui ; l'employé encore là ne peut pas nous aider et nous dit de revenir demain...
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On se dirige donc vers le camping de Klosterneuburg à 10 km à l'ouest de Vienne. C'est l'occasion de retrouver l'Eurovélo6. Par hasard, Arnaud voit un réparateur de vélo installé directement au bord de la piste. Matthieu hésite, ils n'ont pas l'air d'avoir des pièces de rechange !!! On s'arrête quand même. Le réparateur nous dit que c'est facile, il suffit en faite de deviser le haut de la béquille, d'ajuster la hauteur, et de revisser. Ce n'est donc pas cassé !
Pendant la réparation, le snack d‘en face diffusait de la musique française…
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Alors que le ciel a été totalement découvert pendant toute la journée, un orage semble se préparer lorsque nous arrivons à Klosterneuburg. Nous entrons sans payer (comme l'année dernière, l'accueil ferme à 19h…), nous nous installons rapidement au même endroit que l'an dernier. Par hasard nous entendons parler français. Les occupants de la tente d'à côté sont français !!!
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L'abbaye et le camping de Klosterneuburg, sous un ciel menaçant
Puis nous allons manger au kebab juste en face, le même que l'an dernier avec la petite fille... Nous y retrouvons le couple de français (Gilles et Michelle d'Aix en Provence) ; nous parlons de nos voyages respectifs et de la culture « vélo » de l'Allemagne et de l'Autriche qui n'est pas du tout la même que celle de la France ; eux font le Danube de sa source jusqu'à Budapest ; nous l'avons fait l'année dernière alors nous partageons nos impressions de voyage.
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Alors que nous commençons à manger nos kebabs épicés (ils ont mis du piment), en attendant les frites, il commence à pleuvoir, l'orage se rapproche ! Nous restons à l'abri pendant la durée de l'orage. Toujours aussi bien ce kebab. La mère, le père, le fils et la fille (pas la petite aujourd'hui) tous vraiment très sympa. La fille parle très bien l'anglais.
Nous partons rejoindre le camping. Il y a juste une route à traverser. Une voiture avait largement le temps de passer mais elle s'arrête et nous fait un signe pour nous dire de passer. Ça change par rapport à la France ! Pas la même mentalité !!!
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| L'orage est maintenant totalement fini, on se lave et se couche. Demain ce sera la première étape alors il faut se reposer ! |
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