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Nous nous réveillons à 7h15 pour cette dernière matinée. Nous prenons notre douche puis rangeons nos affaires. Certaines n'ont pas encore séché après l'averse de la veille.
A 8h, nous descendons nos sacoches pour pouvoir les mettre en bas sur nos vélos. Nous croisons le gérant qui était à l'accueil hier, nous lui racontons notre voyage plus en détails et nous lui donnons notre carte, au cas où il voudrait aller sur notre site.
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Nous sortons de l'hôtel et allons dans la boulangerie située juste en face de l'hôtel. Notre première boulangerie française depuis longtemps ! Il y a beaucoup de choix, des spécialités françaises, croissants, chaussons, pains au chocolat, pain aux raisins, etc., mais aussi quelques spécialités alsaciennes.
Dans la rue, encore des ivrognes qui se racontent leurs 3 litres de whisky bus durant la nuit. Il y en a pas mal depuis que nous sommes rentrés en France. Le temps est toujours gris, mais sans pluie.
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Nos achats effectués, nous filons vers la gare et attendons notre TGV qui doit partir à 9h15. Nous entamons notre petit déjeuner dans le hall de la gare puis, lorsque c'est l'heure, gagnons notre train. Dans l'escalator permettant de rejoindre le quai, Arnaud laisse échapper son vélo ; il parvient à le retenir de justesse mais la montée se termine difficilement.
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 | Montée acrobatique de vélo avec l'escalator
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Dans le TGV, nous nous installons dans l'espace vélos. Avec nous il y a également un cycliste allemand. Bien qu'il y ait une dizaine de sièges disponibles, l'Allemand s'installe à côté de nous puisque le siège inscrit sur son billet est celui-là.
(On ne rigole pas avec l'ordre et la discipline...) Il faudra attendre le passage du contrôleur lui disant qu'autour, tous les sièges sont libres et qu'il peut prendre ses aises pour qu'il se décide à changer de place.
Partis de Paris à 9h15, ce TGV sans arrêt nous fait arriver à Paris à 11h30. Durant le trajet, nous voyons défiler les paysages de Lorraine, de Champagne puis la banlieue parisienne à toute vitesse. Le ciel, de son côté, s'éclaircit.
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Arrivés à Paris, nous décidons d'en profiter un peu avant de prendre notre train pour Mer.
C'est dimanche et c'est assez agréable de circuler dans la capitale cette fois-ci, contrairement à notre premier passage début juillet. Il faut dire que nous sommes un dimanche d'août, il n'y a pas beaucoup de Parisiens dans les rues...
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Nous passons par le quartier de Pigalle (nous y achetons des pâtisseries orientales pour notre voyage Paris-Mer), puis redescendons jusqu'au Palais de l'Élysée. Là, un touriste espagnol refusera de nous prendre en photo devant le Palais, persuadé que c'est interdit.
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 | Pigalle
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|  | L'église St Augustin
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 | Devant l'Elysée
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|  | Sur les Champs Elysées
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Par la suite, nous redescendons jusqu'à la Place de la Concorde puis prenons la direction de la Tour Eiffel.
Nous nous faisons cette-fois photographier devant ce symbole de Paris, non sans avoir été importunés par les vendeurs à la sauvette de Tours Eiffel. (Oui, ils n'hésitent même pas à passer entre nous et le photographe, où à nous demander si on veut des tours Eiffel alors qu'on est en train de poser!)
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 | Devant la Tour Eiffel
Nous prenons ensuite la direction du Quartier Latin. Dans une petite rue animée du quartier St Michel, nous décidons qu'il est temps de nous arrêter manger. Le dernier repas de notre voyage... Nous choisissons un restaurant de cuisine typiquement française et savoyarde plus particulièrement. Pour 10,90€ chacun, nous avons eu droit à un bon repas (entrée-plat-dessert). Ce qui est certain, c'est qu'aucun membre du personnel n'est savoyard...
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Repas au « Chalet St Michel »
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Après ce repas, nous prenons finalement la direction de la gare d'Austerlitz.
Notre train est normalement à 15h48 mais il est avancé à 15h39 pour cause de travaux sur les voies. Heureusement que nous sommes arrivés bien en avance !
C'est un « Corail » avec espace pour vélos dans un ancien compartiment réaménagé. Autant dire que ce n'est pas facile de monter les vélos. Quant aux bagages, on les monte à la chaîne, les uns après les autres.
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Après 1h40 de voyage, seuls dans un compartiment (ce n'est pas le cas des vélos, il y en a 5 ou 6 autres), nous arrivons à Mer sur le coup de 17h15.
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 | Sur les quais de la gare de Mer
Arrivés chez nous à Mer, nous allons chez les parents de Matthieu où sont également présents ceux d'Arnaud. Nous pouvons alors raconter notre voyage.
Désormais, il nous restera à tout raconter sur notre site et à tous ceux qu'on connaît, à ranger toutes nos affaires et à reprendre nos habitudes de « sédentaires ». En ce qui concerne Matthieu, il reprend le travail le lendemain alors le changement va être radical...
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 | | Arrivés chez les parents de Matthieu |
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